Albert Pinto -
Septembre 2020
LE
« RANULFO » DE SAINT- NECTAIRE :
DONATEUR OU PREVARICATEUR ?
La face occidentale du deuxième chapiteau nord du rond-point de l’église de Saint- Nectaire
a soulevé nombre d’interprétations dont aucune ne semble pleinement concluante. En l’absence
de sources historiques, l’on ne peut que proposer des hypothèses pour expliquer la scène représentée,
notamment la présence de l’inscription
« Ranulfo », affectée d’une dispersion inhabituelle dans
l’épigraphie romane..
Les auteurs qui ont tenté d’éclaircir cette composition énigmatique se sont essentiellement rangés, à quelques
variantes près, soit à une illustration du droit d’asile, comme l’a notamment proposée Swiechowsky (1) soit au thème du donateur, fréquent dans l’iconographie des églises
romanes auvergnates, qu’a notamment retenu Jérôme Baschet (2), tout en évoquant un rapport au combat spirituel comme l’avait déjà suggéré Bernard Craplet (3).
Cette interprétation était proposée dans un document vidéo consacré par Albert Pinto et le R.P. Pierre de Laprade à
l’église de Saint- Nectaire ( 4).
Bruno Phalip, quant à lui, tout en retenant que la colonne figurée au centre de
la scène fait bien référence à l’église,
image habituellement associée à la donation,
les attitudes des divers personnages
n’excluent pas l’évocation du droit d’asile, mais dans un climat de violence reflétant les conflits
qui déchiraient l’Eglise et la société au XIIe siècle (5 ).
Une synthèse de ces interprétations ainsi que les sources s’y rapportant est exposée dans l’étude approfondie
de l’église de Saint- Nectaire
que constitue la thèse de doctorat de
David Morel (
6 ).
Les auteurs cités,
ainsi que plusieurs autres, nous offrent une riche lecture des chapiteaux de Saint- Nectaire et de
multiples interprétations à quoi il n’y a guère à ajouter sauf à
suggérer une nouvelle piste concernant
la scène de Ranulfo.
La piste envisagée ici postule, pour être plausible, quelques conditions préalables :
- Que des liens établis par les
religieux de saint-Nectaire avec La Chaise-Dieu
les aient sensibilisés à la
prédication de saint Anselme, très prégnante dans la communauté casadéenne.
- Que soit pris en compte, en cette période située entre le milieu et la fin du
XIIe siècle où se situe très probablement
la construction de l’église, le
contexte politique et religieux de
l’époque , particulièrement les répercussions
en Auvergne des rivalités entre Plantagenets et Capétiens, y compris à travers le « patronage » de certaines communautés monastiques, mais aussi les
dissensions religieuses très profondes qui perduraient depuis la querelle des Investitures
au siècle précédent.
- Enfin - et surtout - que l’inscription
« Ranulfo » ne corresponde pas à quelque bienfaiteur local oublié par l’histoire mais qu’elle se réfère à une personnalité influente en son temps et clairement identifiée, dont la désignation
conférerait sens à toute la composition .
Sous réserve de ce réseau conjectural et à la lumière des développements qui
suivront, il semble plausible que le
« Ranulfo » représenté sur la corbeille en question ne soit autre que
le tristement célèbre Ranulf Flambard, prêtre
normand devenu évêque de Durham au XIe siècle, qui fut à l’origine de troubles
profonds dans les institutions chrétiennes et la société de son temps.
L’EMPREINTE DE LA CHAUSE-DiEU ET L’INFLUENCE DE SAINT ANSELME
Au milieu du XIIe siècle, Guillaume VII,
comte d’Auvergne, fait don du territoire
de Saint-Nectaire à l’abbaye de la Chaise-Dieu. Les sources sont floues quant
aux suites de cette donation. Il est en tout cas avéré que les moines
casadéens installèrent sur ce site un
petit prieuré et intervinrent peut-être dans la construction
de l’église. Malgré les incertitudes entourant
l’origine et l’affiliation de
l’édifice, il est extrêmement probable,
tant fut considérable le rayonnement de
La Chaise Dieu (7 ) que leurs
conceptions théologiques comme leur
rapport à la société du temps aient imprégné les bâtisseurs de Saint-Nectaire.
Or, dès le siècle précédent, les moines de La Chaise-Dieu avaient été fortement
marqués, non seulement par la pensée de saint Anselme de Canterbury, mais aussi
par les indignations que lui inspiraient les pratiques indignes qui affligeaient l’Eglise, répercutant ainsi
les prescriptions de la réforme grégorienne et la dénonciation de la simonie et de la mainmise
des laïcs sur l’Eglise telle qu’elle
s’exprima lors du IIe Concile du Latran.
Les sources historiques, reprises du XIXe siècle à nos jours par nombre
d’historiographes de la vie et de l’œuvre de saint Anselme, relatent les liens
privilégiés que l’archevêque de Canterbury avait noués avec la communauté
monastique casadéenne, impressionnée
par la richesse argumentaire et souvent innovante de sa philosophie et de sa théologie.
Il convient de signaler incidemment le
fait, longtemps ignoré ou sous-estimé, que les échanges entre les communautés
religieuses médiévales étaient très actifs :
échanges de manuscrits, nouvelles véhiculées par des
moines-messagers, visites de monastère à monastère étaient coutumiers.
C’est dans ce climat de brassage spirituel
que les traités et méditations de saint Anselme se répandirent en France, en Flandre et naturellement en
Angleterre. Et c’est au fin fond de l’Auvergne, à la Chaise-Dieu, qu’ils furent reçus avec le plus de chaleur. On a recensé un échange de lettres entre les
abbés de la Casa Dei et l’archevêque qui témoignent de cette admiration. Le
comte de Montalembert relate ainsi (8) , en termes fleuris, empruntés à des
chroniques anciennes en latin, le climat de ces échanges : « Les moines de La Chaise-Dieu écrivaient à Anselme qu’à la seule lecture de ses écrits, ils croyaient voir couler les larmes de sa contrition et de sa piété, et sentaient leurs âmes comme inondées par la douce rosée de vivantes
et silencieuses bénédictions qui débordaient de son cœur. »
En août de l’an 1100, Anselme,
dépouillé de sa charge et de ses biens par le roi d’Angleterre et qui vit en exil
depuis trois ans, est invité par les moines de La Chaise-Dieu. Il vient à
cheval de Lyon à leur rencontre et c’est en ce moment de détresse et de révolte
qu’il va livrer à ses hôtes le tableau d’une Eglise à la dérive. Malgré sa
réforme et sa victoire sur l’Empereur, Grégoire VII n’avait pas éradiqué les
séquelles de la querelle des Investitures; nicolaïsme et surtout simonie
sévissaient toujours et perdureront
encore longtemps. Ce n’est cependant pas le seul mal auquel Anselme ait été confronté et ses déboires, dans l’Angleterre
des Plantagenets, lui inspirent les
amères dénonciations dont il fera part à ses hôtes de La Chaise-Dieu qui
en seront durablement marqués.
ANSELME CONTRE RANULF FLAMBARD
Par une singulière coïncidence, c’est pendant son séjour à la Chaise-Dieu
qu’Anselme reçut la nouvelle de la mort
accidentelle du roi d’Angleterre Guillaume Le Roux, fils cadet de Guillaume le
Conquérant. Bien qu’au début de son règne, Rufus ait promis à l’abbé du Bec,
devenu archevêque de Canterbury de réformer ses mœurs , il tomba sous l’influence d’un conseiller qui avait
déjà été le secrétaire de son père, Ranulf, surnommé le Flambard. Ce dernier,
promu évêque de Durham, avait mis la main sur de nombreux diocèses et abbayes
dont il avait dilapidé les biens. De surcroît, Ranulf avait incité Guillaume à ignorer l’élection du pape Urbain II, sans pour
autant reconnaitre celle de l’antipape
Clément III, mais faisant forcément le jeu de ce dernier. Et c’est d’avoir
énergiquement dénoncé ce lourd faisceau d’infamies dont se rendait à ses yeux coupable Ranulf, considéré
par lui comme l’âme damnée du souverain,
qui conduisit Anselme à l’exil. Animé de cette aversion profonde, il n’est pas étonnant qu’il en eût livré
l’image désolante à ses auditeurs de La Chaise-Dieu. Toujours est-il que la
mauvaise réputation de Ranulf traversa tout le Moyen-Age, et, bien que les
historiens modernes aient quelque peu atténué la sévérité du tableau. elle
persiste encore , puisque l’on peut voir, à Christchurch, dans le Dorset, une
sculpture-charge du personnage, représenté de façon caricaturale à la manière des figurations médiévales de l’usurier ou du « Fol
Dives » d’Orcival : ventre rebondi et serrant des bourses bien pleines, fruits de ses
exactions ( fig. 1 ). Pour ajouter au
romanesque du personnage, on peut rappeler
que Ranulf fut, un temps, le premier prisonnier politique
de la Tour de Londres…et aussi le premier à s’en évader.
Rien d’étonnant, dès lors, qu’on se souvienne encore au XIIe siècle à Sait-Nectaire du sombre portrait
brossé par Anselme, d’autant plus que
les relations complexes entre l’Angleterre et la France ont toujours exercé des
influences profondes et que l’Auvergne
vient, à l’époque probable de la construction de l’église, de devenir
fief des Plantagenets par le mariage en 1152 d’Henri Plantagenet avec Aliénor d’Aquitaine. Et pour ajouter aux
rapprochements avec le passé, et raviver le souvenir délétère du climat entretenu naguère par
Ranulf, l’Eglise se retrouva un temps déchirée par une nouvelle « affaire d’antipape »
opposant Innocent II à l’antipape
Anaclet II.
Quoi qu’il en soit, pour revenir à la visite casadéenne d’Anselme, ses hôtes
l’y virent verser, malgré ses griefs, « des larmes amères » à la
nouvelle de la mort de Rufus. Rentré en
Angleterre, il recouvra ses
fonctions avec l’accession à la
couronne d’Henri Ier Beauclerc, frère de Guillaume tandis
que Ranulf était mis bientôt en prison avant de rentrer à nouveau en grâce et retrouver son siège de Durham. Son image demeura en tout cas
attachée aux profonds désordres du temps, à la corruption de nombreux prélats et à la mainmise de féodaux brutaux
sur maintes possessions ecclésiastiques. Et dans les dernières années du XIIe siècle,
ce souvenir a sans doute plané sur les
territoires où sévit ce que l’on a appelé la première Guerre de Cent Ans.
UNE DRAMATURGIE DU
SALUT
Avec ses 87 personnages peuplant les faces et les angles de six corbeilles, l’hémicycle de l’église
saint Nectaire de Saint-Nectaire témoigne de la densité thématique offerte par l’art roman auvergnat.
A défaut de programme -intention rarement satisfaite dans l’iconographie médiévale
- , c’est un éloquent réseau d’images que déploient ces chapiteaux dans une
dramaturgie du Salut associant la
Passion, la Résurrection et la Rédemption. Ces thématiques, harmonisant avec cohérence le cœur même du message évangélique, sont regroupées sur quatre chapiteaux du chœur ( A,B,E,F sur le schéma, fig. 2
) dont un certain nombre de caractères méritent d’être relevés. On peut
souligner, par exemple, l’importance
expressive des mains dans la
composition des scènes. La plupart de
celles représentées dans l’Arrestation de Jésus et la Flagellation sont
des mains de violence, faisant écho aux glaives brandis. Jusqu’à la main de
Jésus protégeant l’oreille de Malchus,
tout est brutale agitation dans
cette imagerie ( fig. 3 ). Cette observation peut s’avérer utile pour éclairer la scène de
« Ranulfo ».
L’on observera aussi que la face, apparemment « hors-sujet » de
l’incrédulité de Thomas ( fig. 4 ) ,
trouve sa place sur la corbeille A
dont elle ne rompt nullement l’unité: le
geste de Thomas, en effet, marque une transition entre la Passion et la
Résurrection. La réponse du disciple: « Mon seigneur et mon Dieu » relèverait alors des Béatitudes en illustrant la formule de Jean :
« Heureux sont ceux qui croient sans avoir vu ». Or, la pensée de
saint Anselme, sur laquelle insiste la présente étude étude, notamment son célèbre
« Proslogion », qui inspira fortement la règle bénédictine, transpose la formule en cette « transfiguration
intérieure » où s’exprime la maxime « Je ne cherche pas à comprendre
pour croire, mais je crois pour comprendre ».
Cet enseignement de saint Anselme, comme le souvenir de son combat contre
les dérives religieuses et sociétales de
son temps ont-ils imprégné la communauté casadéenne en cette seconde partie du
XIIe siècle ? on peut le croire, en dépit des troubles internes qui pesaient alors sur l’abbaye de La Chaise-Dieu.
On peut du moins penser que les
moines qui vivaient au prieuré de Saint
Nectaire et qui furent peut-être à l’origine de l’édification de l’église avaient
conservées intactes les anciennes convictions de leur maison-mère.
Les deux chapiteaux, C
et D, qui ne font pas partie du « cycle du Salut » illustré sur
les quatre précédents , participent néanmoins à l’unité de l’ensemble. La corbeille D relate des épisodes de la vie
de saint Nectaire, à qui l’église est dédiée, incluant une intéressante
représentation de l’église avant son
achèvement.
Le chapiteau C est essentiellement consacré à deux périodes successives
de la vie de Jésus: la Multiplication des Pains, préfiguration possible
de la Céne, et la Transfiguration, qui occupe
deux faces contiguës. Cet épisode de la Transfiguration, relaté par les trois
évangiles synoptiques , trouve peut-être une correspondance philosophique dans la transfiguration dont parle Anselme.
UN INTRUS AMBIGU DANS LE RECIT
EVANGELIQUE
C’est sur la dernière face de cette
corbeille C que se trouve l’élément
le plus inattendu et le plus énigmatique
de l’iconographie de Saint Nectaire ( fig. 5).
Empruntons la description qu’en fait David Morel (9): « Sur la face
orientale de ce chapiteau apparait un
personnage, vêtu d’un bliaud court, se cramponnant à une colonne. A gauche, un
ange, vêtu d’un long drapé et armé d'une épée, le saisit par le poignet comme
pour l’entrainer. A droite, cantonné dans le haut de la corbeille, figure un homme vêtu d’une cotte de mailles
et portant un casque à protection
nasale, qui vient le saisir par les
cheveux tout en le désignant du
doigt. Hormis le soin apporté à la réalisation de ce chapiteau, qui
rejoint les caractéristiques de premières corbeilles historiées évoquées, c’est
l’inscription accompagnant la scène qui
a retenu constamment l’attention des auteurs. Cette inscription est simple et
consiste en une série de lettres capitales
groupées ou isolées, se développant sur la hauteur de la colonne sans
régularité : RA NU L FO ».
Ce Ranulfo peut-il désigner un
personnage plus connu qu’un obscur
donateur ou un quelconque fuyard
réclamant le droit d’asile ? C’est Agnès Beaufrère-Guillaumont qui suggère le plus résolument, dans la thèse
exhaustive qu’elle a consacrée à la sculpture romane en Auvergne (10 ) , l’hypothèse que le Ranulf (ou Ranulph)
de Saint- Nectaire soit un personnage malveillant figuré dans un geste d’arrachement de la colonne à
laquelle il s’agrippe, arrachement d’ailleurs presque réussi, puisque l’on
aperçoit la base de la colonne descellée. Elle met aussi opportunément en
résonance cette scène d’un personnage
détruisant une église avec celle du chapiteau de saint Nectaire où un
saint est au contraire associé à sa construction (fig. 6 )
« Notre » Flambard semble bien
répondre à une telle évocation. Encore faut-il le confronter aux autres
interprétations qui ont été apportées à
ce chapiteau.
L’hypothèse du droit d’asile fut certes
envisagée d’abord. Mais que vient faire alors cette étrange dislocation dont
est affectée l’inscription avec des caractères disposés de manière
erratique et un U à peine lisible ? ( fig. 7 ). Ces lettres semblent déjà désigner
celui dont elles forment le nom comme un
personnage de rupture, de conflits…
Une autre lecture met cette scène en relation avec le thème du donateur, représenté dans maintes églises, l’exemple le
plus célèbre étant le Stefanus de Notre Dame du Port à Clermont, associé au
chapiteau de la Psychomachie ( fig. 8 ). D’autres, comme à Volvic ( fig.89 ), à Bulhon ( fig. 10 ) ou à Trizac dans le Cantal ( fig. 11 )
proposent la même thématique; mais sur tous ces chapiteaux, la figure des
protagonistes reflète la sérénité, le don généreux. Et les inscriptions qui les
accompagnent sont explicites, avec
un graphisme ordonné.
A Saint Nectaire, au contraire, le visage du personnage central est grimaçant,
son geste est prédateur, au sens du latin praedator
= pillard. Les mains, ici encore, semblent plus s’apparenter à la
crispation de celles de la flagellation et de l’arrestation qu’à un geste
d’accueil. Celle de l’ange semblerait
plutôt repousser Ranulfo de sa colonne que l’accueillir et son glaive vertical
établit comme une frontière, un barrage. La présence du démon-soldat agrippant
la chevelure de Ranulfo, et qui apparente cette sculpture à celle du Port
(fig. 12 ) accentue encore le caractère
malveillant et violent de la composition
entière.
Que faisait le Flambard en son temps, sinon s’ « agripper » aux
biens de l’Eglise qu’il dilapidait outrageusement ? Son souvenir,
peut-être entretenu par la mémoire casadéenne et répandue dans ses dépendances,
aurait ainsi inspiré
au sculpteur de Saint- Nectaire
cette thématique dénonciatrice , grinçant oxymore de la donation , qui apparaît
alors comme une métaphore de la simonie,
mal qui gangrenait l’Eglise depuis des
siècles, et singulièrement le XIe.
******************************
1. Zygmunt Swiechowsky : « Sculpture romane d’Auvergne ».
Editions de Bussac, Clermont-Ferrand 1973.
2. Jérôme Baschet, Jean-Claude Bonne et
Pierre-Olivier Dittmer: « Saint -Nectaire : déploiements figuratifs
et autoglorification de l’Ecclesia » in « Images Re-vues », hors
série3/2012.
URL : http://journals.openedition.org/imagesrevues/1611
3. L’ouvrage du chanoine Craplet « Auvergne Romane » a été l’un des
premiers fleurons de la collection Zodiaque ( « La Nuit des Temps »
éditions de La Pierre qui Vire) qui réveilla l’intérêt du public pour l’art
roman.
4. L’église de Saint Nectaire : Un Evangile de pierre », A.Pinto et
P. De Laprade. Vidéo de l’Association
« Cultures et Communication ». Clermont-Ferrand, 2002.
URL : https://www.youtube.com/watch?v=TrHljuvjoFQ
5. Cité ici par David Morel.
6. David Morel : « Tailleurs de pierre, sculpteurs et maîtres d’œuvre
dans le Massif Central ».
Tome 3 : « L’église saint Nectaire de Saint Nectaire ». Thèse
de doctorat, université de Clermont-Ferrand- Blaise Pascal, juin 2009.
7 . Voir notamment Pierre-Roger Gaussin : « Le
rayonnement de La Chaise-Dieu. Editions
Watel, Brioude 1981.
8. Comte de Montalembert :« Saint Anselme » ,Vaille éditeur,
Paris 1844
9. Ouvrage cité (6)
10. Agnès Beaufrère-Guillaumont : « Sculpture romane d’Auvergne,
iconographie, textes et programme ». Thèse de doctorat Université de
Toulouse Jean-Jaurès, juin 2017.
Url : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02115562/file/Beaufrere_Guillaumont_Agnes_annexes.pdf
PHOTOS : Les photographies et le schéma sont d'Albert Pinto, sauf la fig. 10 : photo X...